de la construction à la mise en abîme

Avec les fichiers à L'Aïvil, je reconstitue une ville par combinaison des fichiers Moza et Armoz.
Ces études partent de fichiers numériques complets emboités ou assemblés par superposition en transparence. Je joue avec les changements d'échelles puis je redécoupe, réorganise pour créer un ensemble de plus en plus dense, sans utiliser la perspective linéaire, mais plutôt atmosphérique

Vers un degré d'abstraction

Les architectures imbriquées en réseau ne forment plus qu'un tout qui se décompose petit à petit et tend à l'abstraction ou à un figuratif indiciel dans "l'aivil 316"

Les deux dernières A L'Aïvil sont actuellement retravaillées.

non au niveau des fichiers, mais au niveau des matrices et des impressions

Les recherches avec "Alaredde à Anjwa m'ont convaincues la potentialité des matrices et de la dimension picturale de l'empreinte au tirage.

( projet 2011)